JULIEN ROUX
a participé à : masterclass #1 – 2024
”Je remercie l’équipe Oeildeep de m’avoir accompagné dans l’élaboration de ce projet photographique.
Elle m’a permis de mener des recherches sur du long termes en prenant le temps d’explorer tous les possibles.
Au fur à mesure des échanges et des rendez-vous de groupe on comprend mieux ce que l’on fait, et ce vers quoi on tend.
Les points de vues se précisent, les images et l’editing font sens, l’aboutissement après 6 mois de travail est une vraie satisfaction.
OEILDEEP est aussi une experience humaine enrichissante car elle incite chacun des participants à se dévoiler et exprimer sa vision personnelle de la photographie.
Je remercie donc personnellement Sonia, Laurence, JC, et Denis, pour la qualité de leur suivi, et je suis très heureux d’avoir croisé leur regards, ainsi que le groupe de participants photographes touchants et inspirants.
JULIEN ROUX
a participé à : masterclass #1 – 2024
”Je remercie l’équipe Oeildeep de m’avoir accompagné dans l’élaboration de ce projet photographique.
Elle m’a permis de mener des recherches sur du long termes en prenant le temps d’explorer tous les possibles.
Au fur à mesure des échanges et des rendez-vous de groupe on comprend mieux ce que l’on fait, et ce vers quoi on tend.
Les points de vues se précisent, les images et l’editing font sens, l’aboutissement après 6 mois de travail est une vraie satisfaction.
OEILDEEP est aussi une experience humaine enrichissante car elle incite chacun des participants à se dévoiler et exprimer sa vision personnelle de la photographie.
Je remercie donc personnellement Sonia, Laurence, JC, et Denis, pour la qualité de leur suivi, et je suis très heureux d’avoir croisé leur regards, ainsi que le groupe de participants photographes touchants et inspirants.
ODYSSÉES
Ce n’est pas le temps qui passe, c’est nous qui passons dans le temps.
Je capture ces instants pour l’exception qu’ils contiennent, à l’affut depuis le quai, je saisis cette suspension temporelle comme une mise en tension.
Les sujets saisis semblent incapables de s’inscrire dans le temps qui passe, ni passé, ni avenir, seulement un présent infini.
Un vécu instantané hors de la conscience du temps dont l’image figée témoigne pour chacun de l’expérience qui précède cet instant ou inversement d’un futur à venir. L’abolition provisoire de la temporalité, en forme de parenthèse, un temps hors temps nécessaire.
La rame s’arrête, les portes s’ouvrent à mes images, l’instant de suspendre, de surprendre, de capter un regard, une posture, une combinaison d’attitudes. Je dévoile l’insaisissable du quotidien.
Il me reste alors cette étrange planche contact, où mon regard se déplace au rythme des rames qui arrivent et repartent, et me laissent seul sur le quai.
De leurs visages hiératiques emprunts d’une certaine religiosité, il me vient à l’esprit des œuvres de la Renaissance, notamment celles de Piero Della Francesca.