CAMILLE DE ROUVILLE
a participé à : masterclass #1 – 2022
”Œildeep, qui m’a été conseillé par une amie photographe, m’a permis après une longue période de doute quant à ma pratique photographique de me remettre le pied à l’étrier, de tenter de nouvelles choses au lieu de stagner, d’essayer plutôt que d’attendre. De rencontrer d’autres photographes, de les voir se confronter à leurs propres problématiques, d’essayer par une émulation collective d’avancer ensemble, aidés par des intervenants pertinents et bienveillants : tout a concouru à débloquer des solutions et à me permettre d’entrevoir une suite enthousiasmante à mon travail.
CAMILLE DE ROUVILLE
a participé à : masterclass #1 – 2022
”Œildeep, qui m’a été conseillé par une amie photographe, m’a permis après une longue période de doute quant à ma pratique photographique de me remettre le pied à l’étrier, de tenter de nouvelles choses au lieu de stagner, d’essayer plutôt que d’attendre. De rencontrer d’autres photographes, de les voir se confronter à leurs propres problématiques, d’essayer par une émulation collective d’avancer ensemble, aidés par des intervenants pertinents et bienveillants : tout a concouru à débloquer des solutions et à me permettre d’entrevoir une suite enthousiasmante à mon travail.
BULLES
Avec cette nouvelle série, je m’autorise à rouvrir les archives des photos de cette maison familiale, vendue il y a quelques années maintenant, et dont j’avais déjà tiré deux séries : “Le buis”, qui délimitait cette zone autour de la demeure où nous passions le plus clair de notre temps pendant nos vacances, et “Le déménagement” où je photographiais les traces de notre passage sur les murs, à l’heure de la vente de ce lieu adoré.
Les moments privilégiés passés dans ce château et son environnement champêtre pendant tous mes étés allaient souvent de pair avec un ennui profond, un spleen certain les jours de pluie ou de brouillard et une grande propension à buller.