LAETITIA D’ABOVILLE
a participé à : masterclass #2 – 2018
”Le premier pas dans la photographie d’auteur est de montrer son travail. Il faut déjà oser. Les lectures de portfolio, c’est bien, mais en 20 minutes, tu te prends souvent une bonne claque et pi c’est tout. Je ne dis pas que chez Oeildeep on ne se prend pas de claque, loin de là, mais on a 6 mois pour s’en remettre, défendre son bout de gras, accepter d’être soi, refaire le monde… bref, une petite aventure.
Un gros plus d’Oeildeep, c’est le nombre d’intervenants et leur implication. On peut se sentir plus ou moins proche de la sensibilité d’un intervenant ou de l’autre mais le troisième avis nous apporte toujours quelque chose et nous oriente toujours un peu, le but étant d’arriver à être juste.
Au milieu de la session, chacun se pose mille questions, on voit passer les boulots des autres, on se dit qu’on n’y arrivera jamais, on se retrouve à un vernissage, et on se rend compte qu’on est tous dans le même état de nerfs. Les gens sont à fond.
Et puis le dernier week-end arrive, l’échéance et la qualité des relations font aussi que les gens bossent, leur sujet murit et ils se rapprochent d’eux-mêmes.
Enfin, les efforts de Sonia et des intervenants pour nous donner une visibilité sont vraiment appréciables aussi. Cette année : une projection à la Nuit de la Roquette à Arles, une projection à la Fisheye Galerie et une parution dans 9 Lives Magazine.
Pas mal non ?
LAETITIA D’ABOVILLE
a participé à : masterclass #2 – 2018
”Le premier pas dans la photographie d’auteur est de montrer son travail. Il faut déjà oser. Les lectures de portfolio, c’est bien, mais en 20 minutes, tu te prends souvent une bonne claque et pi c’est tout. Je ne dis pas que chez Oeildeep on ne se prend pas de claque, loin de là, mais on a 6 mois pour s’en remettre, défendre son bout de gras, accepter d’être soi, refaire le monde… bref, une petite aventure.
Un gros plus d’Oeildeep, c’est le nombre d’intervenants et leur implication. On peut se sentir plus ou moins proche de la sensibilité d’un intervenant ou de l’autre mais le troisième avis nous apporte toujours quelque chose et nous oriente toujours un peu, le but étant d’arriver à être juste.
Au milieu de la session, chacun se pose mille questions, on voit passer les boulots des autres, on se dit qu’on n’y arrivera jamais, on se retrouve à un vernissage, et on se rend compte qu’on est tous dans le même état de nerfs. Les gens sont à fond.
Et puis le dernier week-end arrive, l’échéance et la qualité des relations font aussi que les gens bossent, leur sujet murit et ils se rapprochent d’eux-mêmes.
Enfin, les efforts de Sonia et des intervenants pour nous donner une visibilité sont vraiment appréciables aussi. Cette année : une projection à la Nuit de la Roquette à Arles, une projection à la Fisheye Galerie et une parution dans 9 Lives Magazine.
Pas mal non ?
ALORS J’Y VAIS EXPRÈS POUR TONDRE LES NOIX
En décembre 2014, mon père est diagnostiqué Alzheimer.
Doucement, violemment aussi, tout bascule. Je cherche une façon d’accompagner cet homme avec lequel je n’ai jamais su parler.
Au moment où les mots se vident de leur sens, seule l’image peut me permettre de tisser un lien avec lui.